Yanis - Quand vient la nuit
Le facteur n'est pas passé, il ne passera jamais
Lundi, mardi, mercredi, jeudi
Minuit sonne et les plus grandes peurs résonnent
Dans les esprits - et les gens déraisonnent
Rien ne fonctionne - quand s'actionne
L'angoisse d'une tête qu'on sectionne
Peurs primaires - des sorcières - d'un bestiaire
S'accélère le rythme vasculaire
Face aux peurs tentaculaires
Petit, petit, va, mais quand le moment vient
Tu peux t'enfuir au loin, sachant que c'est la fin
Vas-y, vas-y, fuis les ombres de la nuit
Puisque c'est pour ta vie, nul n'entendra tes cris
Le facteur n'est pas passé, il ne passera jamais
Lundi, mardi, mercredi, jeudi, vendredi, samedi
Dès la nuit je frissonne
Chaque parcelle de mon corps s'abandonne
Pendant que l'horloge résonne
Quand vient la nuit, quand vient la nuit
Dès la nuit je frissonne
A l'abri de l'orage qui sonne
Crie jusqu'à en être aphone
Quand vient la nuit, quand vient la nuit
Avis concernant les somnambules
Habitués aux ténèbres et crépuscules
Quand face à rien d'ordinaire ils ne reculent
Qu'ils s'interrogent au fond sur les monticules
Marquant cette colline, hémoglobine en rivière qui s'y achemine
Ames sans peine - par centaines - vidées du sang dans leurs veines
Petit, petit, va, mais quand le moment vient
Tu peux t'enfuir au loin, sachant que c'est la fin
Vas-y, vas-y, fuis les ombres de la nuit
Puisque c'est pour ta vie, nul n'entendra tes cris
Le facteur n'est pas passé, il ne passera jamais
Lundi, mardi, mercredi, jeudi, vendredi, samedi Dès la nuit je frissonne
Chaque parcelle de mon corps s'abandonne
Pendant que l'horloge résonne
Quand vient la nuit, quand vient la nuit
Dès la nuit je frissonne
A l'abri de l'orage qui sonne
Crie jusqu'à en être aphone
Quand vient la nuit, quand vient la nuit
Dès la nuit je frissonne
Chaque parcelle de mon corps s'abandonne
Pendant que l'horloge résonne
Quand vient la nuit, quand vient la nuit
Dès la nuit je frissonne
A l'abri de l'orage qui sonne
Crie jusqu'à en être aphone
Quand vient la nuit, quand vient la nuit
Vendredi, samedi
Dès la nuit je frissonne
Chaque parcelle de mon corps s'abandonne
Pendant que l'horloge résonne
Quand vient la nuit, quand vient la nuit
Dès la nuit je frissonne
A l'abri de l'orage qui sonne
Crie jusqu'à en être aphone
Quand vient la nuit, quand vient la nuit
Petit, petit, va, mais quand le moment vient
Tu peux t'enfuir au loin, sachant que c'est la fin
Vas-y, vas-y, fuis les ombres de la nuit
Puisque c'est pour ta vie, nul n'entendra tes cris
Petit, petit, va, mais quand le moment vient
Tu peux t'enfuir au loin, sachant que c'est la fin
Vas-y, vas-y, fuis les ombres de la nuit
Puisque c'est pour ta vie, nul n'entendra tes cris
Le facteur n'est pas passé, il ne passera jamais
Lundi, mardi, mercredi, jeudi
Le facteur n'est pas passé, il ne passera jamais
Lundi, mardi, mercredi, jeudi, vendredi, samedi, dimanche
Lundi, mardi, mercredi, jeudi
Minuit sonne et les plus grandes peurs résonnent
Dans les esprits - et les gens déraisonnent
Rien ne fonctionne - quand s'actionne
L'angoisse d'une tête qu'on sectionne
Peurs primaires - des sorcières - d'un bestiaire
S'accélère le rythme vasculaire
Face aux peurs tentaculaires
Petit, petit, va, mais quand le moment vient
Tu peux t'enfuir au loin, sachant que c'est la fin
Vas-y, vas-y, fuis les ombres de la nuit
Puisque c'est pour ta vie, nul n'entendra tes cris
Le facteur n'est pas passé, il ne passera jamais
Lundi, mardi, mercredi, jeudi, vendredi, samedi
Dès la nuit je frissonne
Chaque parcelle de mon corps s'abandonne
Pendant que l'horloge résonne
Quand vient la nuit, quand vient la nuit
Dès la nuit je frissonne
A l'abri de l'orage qui sonne
Crie jusqu'à en être aphone
Quand vient la nuit, quand vient la nuit
Avis concernant les somnambules
Habitués aux ténèbres et crépuscules
Quand face à rien d'ordinaire ils ne reculent
Qu'ils s'interrogent au fond sur les monticules
Marquant cette colline, hémoglobine en rivière qui s'y achemine
Ames sans peine - par centaines - vidées du sang dans leurs veines
Petit, petit, va, mais quand le moment vient
Tu peux t'enfuir au loin, sachant que c'est la fin
Vas-y, vas-y, fuis les ombres de la nuit
Puisque c'est pour ta vie, nul n'entendra tes cris
Le facteur n'est pas passé, il ne passera jamais
Lundi, mardi, mercredi, jeudi, vendredi, samedi Dès la nuit je frissonne
Chaque parcelle de mon corps s'abandonne
Pendant que l'horloge résonne
Quand vient la nuit, quand vient la nuit
Dès la nuit je frissonne
A l'abri de l'orage qui sonne
Crie jusqu'à en être aphone
Quand vient la nuit, quand vient la nuit
Dès la nuit je frissonne
Chaque parcelle de mon corps s'abandonne
Pendant que l'horloge résonne
Quand vient la nuit, quand vient la nuit
Dès la nuit je frissonne
A l'abri de l'orage qui sonne
Crie jusqu'à en être aphone
Quand vient la nuit, quand vient la nuit
Vendredi, samedi
Dès la nuit je frissonne
Chaque parcelle de mon corps s'abandonne
Pendant que l'horloge résonne
Quand vient la nuit, quand vient la nuit
Dès la nuit je frissonne
A l'abri de l'orage qui sonne
Crie jusqu'à en être aphone
Quand vient la nuit, quand vient la nuit
Petit, petit, va, mais quand le moment vient
Tu peux t'enfuir au loin, sachant que c'est la fin
Vas-y, vas-y, fuis les ombres de la nuit
Puisque c'est pour ta vie, nul n'entendra tes cris
Petit, petit, va, mais quand le moment vient
Tu peux t'enfuir au loin, sachant que c'est la fin
Vas-y, vas-y, fuis les ombres de la nuit
Puisque c'est pour ta vie, nul n'entendra tes cris
Le facteur n'est pas passé, il ne passera jamais
Lundi, mardi, mercredi, jeudi
Le facteur n'est pas passé, il ne passera jamais
Lundi, mardi, mercredi, jeudi, vendredi, samedi, dimanche
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